Chef Trombe-de-l’Hiver dit : Les armées du Fléau nous encerclent. Nous pourrons tenir le village quelque temps mais, si nous n'arrivons pas à les vaincre, elles vont nous submerger.
Chef Trombe-de-l’Hiver dit : Les paroles doivent laisser la place aux actes. Nous devons décider comment nous débarrasser du Fléau avant qu'il ne nous engloutisse.
Chef Trombe-de-l’Hiver dit : Je ne sacrifierai pas mes guerriers pour des histoires romantiques de mort glorieuse sur le champ de bataille. Quel intérêt y a-t-il à combattre pour survivre si personne ne survit ?
Chef Trombe-de-l’Hiver dit : L'heure du combat viendra, Durm. Mais d'abord, nous devons trouver un moyen d'équilibrer les chances. Que me conseillerais-tu, Aeire ?
Chef Trombe-de-l’Hiver dit : Et quel est le prix de ton honneur, Durm ? Ta vie ? La mienne ? La vie d'un vieil aveugle comme grand-père Mahan, qui s'occupait de toi quand tu étais enfant ?
Chef Trombe-de-l’Hiver dit : L'honneur n'a pas de valeur pour un mort. Un guerrier peut se lancer au combat au nom de son honneur, mais un chef a bien plus de responsabilités que ça. Nous allons suivre le plan de la sage Aeire, et continuer à défendre notre village.
Chef Trombe-de-l’Hiver dit : Aeire, <nom> a rapporté les peaux que tu demandais. S'il te plaît, emporte-les avant qu'elles ne me rendent malade.